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Kindia: tenue d’un atelier de formation des formateurs sur les outils de la surveillance épidémiologique

Le ministre de la santé à travers l’Agence Nationale de la Sécurité Sanitaire(ANSS) a organisé mardi 28 Août 2018 à l’École Normale d’Instituteurs (ENI) de Kindia une semaine de formation portant sur la concertation préliminaire entre les hauts responsables, les techniciens du niveau central, les partenaires clés de la surveillance épidémiologique et les laboratoires. 

Objectif formé les agents du niveau central, du ministère de la santé, de l’élevage et de l’environnement, sur le remplissage des nouvelles versions des fiches du collectif des données sur les maladies et événements prioritaires version papier et DHIS2.

À cette occasion le chef de département surveillance à l’ANSS Docteur Moussa Koné a fait savoir que cette formation permet de donner des compétences et les capacités aux participants qui vont démultiplier cette formation au niveau régional et des préfectures sanitaires.

« Ces nouveaux outils sont des outils de surveillance, sont des supports qui sont identifiés pour pouvoir noter tous les éléments essentiels se rapportant à un évènement de santé. Donc les acteurs conviés à cette rencontre vont s’approprier de ces outils par ce que leur charge c’est de démultiplier l’utilisation de ces outils » explique-t-il

De son côté, le directeur du projet RTI, Aboubacar Ibrahima Diallo a précisé que ce processus a commencé depuis fin 2017.

« Nous sommes à un niveau de processus qui a commencé depuis fin 2017. Donc nous avons essayé d’évaluer le niveau de la situation est éventuellement élaborer les fiches et les harmoniser et réviser. Tous aspects ont été pris en compte. Nous avons des fiches qui prennent en compte la plupart des aspects de la surveillance, ces fiches ont été aussi mises dans le système électronique. Alors, c’est ce qui fait que nous formons des formateurs du niveau central et après les autres niveaux de la pyramide sanitaire les régions et préfectures. Nous ferons aussi la mise à disposition de ces outils pour les utilisateurs à la base ». Conclut-il

À noter que ce projet est financé par CDC, de RTI et du ministère de la santé guinéenne.

 

 

 

Mohamed Homo pour Guineequotidien

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