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G5 Sahel : La force conjointe « demeure essentielle dans la lutte contre le terrorisme » (ONU)

Composée de 5000 militaires, cette force transfrontalière avait été créée, en 2017, par les cinq pays du G5 Sahel (Mauritanie, Tchad, Mali, Niger, et Burkina Faso) en vue de mutualiser leurs efforts dans la lutte contre le terrorisme et les crimes organisés.

La « Force conjointe » du Groupe des cinq pays du Sahel (G5 Sahel) « demeure essentielle dans la lutte contre le terrorisme » au Sahel africain, a estimé Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire général adjoint des Nations unies aux opérations de paix. Composée de 5000 militaires, cette force transfrontalière avait été créée, en 2017, par les cinq pays du G5 Sahel (Mauritanie, Tchad, Mali, Niger, et Burkina Faso) en vue de mutualiser leurs efforts dans la lutte contre le terrorisme et les crimes organisés.

La force conjointe « a continué de renforcer ses effectifs opérationnels », et ses unités « ont de plus en plus acquis des expériences pratiques et une efficacité dans leurs opérations », a ajouté Lacroix qui s’exprimait, le 16 novembre, devant le Conseil de sécurité de l’ONU. Elle « demeure un élément essentiel des réponses sécuritaires pour lutter contre les groupes armés extrémistes dans la région », a-t-il souligné, citant les autres défis transfrontaliers de la région, comme les trafics de personnes, de marchandises illicites, d’armes et de drogues.

« À cet égard, il est essentiel qu’elle reçoive l’assistance dont elle a besoin pour s’acquitter des tâches qui lui ont été confiées », a-t-il dit, appelant à accroître le soutien financier destiné à la force conjointe. « Nous devons être conscients des conséquences désastreuses de la situation sécuritaire pour le reste de la région de l’Afrique de l’Ouest si la situation au Sahel n’est pas traitée de manière adéquate », a-t-il prévenu.

 

Avec dpa-news

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