Le président du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC, opposition) rejette la force de stabilisation de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sans l’aval de l’Assemblée nationale de Guinée Bissau.
Lors d’une conférence de presse mercredi, le chef de l’ex-parti de libération, Domingos Simões Pereira, a évoqué de nombreux doutes sur les faits entourant la tentative de coup d’État du 1er février.
« Nous devons dire à la CEDEAO, très clairement, que nous avons une Constitution qui indique que c’est l’Assemblée nationale qui est la seule entité compétente, au nom du peuple guinéen, à demander l’appui éventuel d’une force étrangère », a affirmé M. Simões Pereira.
Le président du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC, opposition) rejette la force de stabilisation de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) sans l’aval de l’Assemblée nationale de Guinée Bissau.
Lors d’une conférence de presse mercredi, le chef de l’ex-parti de libération, Domingos Simões Pereira, a évoqué de nombreux doutes sur les faits entourant la tentative de coup d’État du 1er février.
« Nous devons dire à la CEDEAO, très clairement, que nous avons une Constitution qui indique que c’est l’Assemblée nationale qui est la seule entité compétente, au nom du peuple guinéen, à demander l’appui éventuel d’une force étrangère », a affirmé M. Simões Pereira.
Avec VOA