« Ce nouvel investissement soutient notre objectif de construire un écosystème cloud intégré, à accès libre et de bout en bout à travers le continent africain, alimenté par une infrastructure évolutive, indépendante des opérateurs, à accès ouvert et partagée, étayée par une haute qualité et une connectivité numérique abordable », a expliqué Chris Wood, Directeur général de WIOCC. Pour sa part, Mohamed Gouled, le vice-président des industries de l’IFC, a déclaré : « Chez IFC, nous reconnaissons qu’il existe un besoin critique d’infrastructure numérique fiable qui est fondamentale pour améliorer la qualité de vie des gens et stimuler la croissance des entreprises ».
En Afrique, l’accès à Internet repose en grande partie sur les réseaux mobiles, selon l’IFC. Dans la majeure partie de l’Afrique subsaharienne à l’exception de l’Afrique du Sud, le taux de pénétration du haut débit mobile n’est que d’environ 34 pour cent et celui du haut débit fixe est de moins de 5 pour cent, avait indiqué la même source, en 2021. Selon la Banque mondiale (BM), une hausse de 10 pour cent de la pénétration du haut débit mobile en Afrique entraînerait un gain de 2,5 pour cent du PIB par habitant.
Avec dpa-news