Pour autant, la libération du chef de la Fesabag ne signifie pas le retour à la normale. Un cadre du syndicat assurait ce vendredi que le mouvement allait se poursuivre jusqu’à mardi, au moins.

Pour rappel, l’association des magistrats avait porté plainte contre Abdoulaye Sow pour des propos tenus dans un communiqué de la centrale. La Fesabag dénonçait dans le texte les menaces qui pèsent, selon elle, sur le secteur financier guinéen. Elle pointait du doigt la condamnation récente de deux établissements bancaires, dénonçant l’implication « de magistrats véreux ».

 

Avec RFI