Dans son discours de circonstance, la représentante de l’OPROGEM, capitaine N’Balia Toure a souligné que les violences faites aux femmes sont commises à longueur de journée par nous même au sein de nos différentes communautés de façon volontaires.
« les Violences Basées sur le Genre ne désignent pas forcement les femmes comme beaucoup le pensent. C’est à la fois les femmes et les hommes car, il s’agit de la répartition des rôles sociaux entre les deux sexes au sein de la société »
Parlant des statistique de l’année 2022, 226 cas de viol ont été enregistrés, 53 cas de maltraitance, 59 cas de violence conjugale, 9 cas de traite de personnes, 57 cas de mariage précoce et 230 cas d’abandon de famille dont 175 cas déférés.
Selon la cheffe de la cellule genre et équité du ministère du Budget, Anne Marie Toure, depuis 1991, plus de 6000 organisations dont prêt 187 pays participent à la campagne dont la porté a atteint 300 000 000 de personnes, des institutions et des organisations du monde entier qui utilise comme stratégie organisationnelle .
» Ces journées doivent être un effort appelant à une action mondiale pour renforcer la sensibilisation du publique, mobiliser les efforts de plaidoyer et des opportunités de décision sur les défis à relever sur les solution, dans l’échelle mondiale. Une femme sur trois a subit une violence morale ou physique, au courant de l’année 2022. La violence s’est aggravée pendant le confinement liée à la pendemie Covid-19. »
À noter que 70% de l’initiative spotlight des Etats Unies et l’Union Européenne de la traite de l’être humaine dans le monde sont les femmes ou filles. Plus de 700.000 000 de femmes se sont marié avant l’âge de 18ans et 22.000 000 filles et femmes en vie ont été victime de mutilation génitale féminine et aussi les hommes sont victime de violence