La formation fait partie d’un projet intitulé « DISRUPT », initié par l’Union européenne et mis en œuvre par INTERPOL et l’Office des Nations unies contre les drogues et le crime (ONUDC). Lancé en 2011, DISRUPT est déployé en Amérique centrale et du Sud ainsi qu’en Afrique centrale et de l’Ouest. Il a été conçu afin de « perturber les flux de trafics et empêcher que des armes à feu illicites ne puissent être acquises par des groupes de criminalité organisée ou par des terroristes », a-t-on lu sur le site web du projet.
Il s’agit de « renforcer la capacité de réponse des pays cibles en matière de justice pénale et de maintien de l’ordre pour combattre le trafic et la prolifération illicite d’armes à feu par le biais d’une réponse globale ». Selon DISRUPT, « les enquêtes sur les trafics d’armes à feu doivent dépasser les frontières nationales et impliquer l’ensemble des pays sur les itinéraires empruntés ».
Avec dpa-news