Ce programme doit permettre de lever les obstacles en matière de climat des affaires afin de renforcer la nature inclusive et résiliente de la croissance et d’assurer des emplois et des revenus décents aux populations, a-t-on ajouté. Il est également un instrument destiné à faciliter l’accès au financement et aux mécanismes de garanties, en particulier pour les microentreprises et PME détenues par des femmes, a-t-on expliqué. La stratégie consiste à accroître la valeur ajoutée de la production nationale ainsi que les parts de marché des entreprises locales dans un environnement sécurisé et adapté au changement climatique.
Pour atteindre ces objectifs, le programme est structuré autour de trois composantes : l’appui à la compétitivité du secteur privé, l’accès aux marchés nationaux et d’exportation et la gestion du programme. À terme, il devrait contribuer à améliorer la compétitivité du secteur privé en favorisant son accès au financement et aux services financiers ainsi que promouvoir et renforcer les instruments de développement pour l’accès des PME aux marchés nationaux et d’exportation, notamment dans le cadre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf).
Avec dpa-news